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Recherche par auteur : Merle, Pierre

4 résultats.

Lu par : Annette Charon
Durée : 3h. 35min.
Genre littéraire : Voyage/exploration
Numéro du livre : 68955
Résumé:Savoir flâner à Paris est un art de vivre. Et plus encore quand on est parisien. Car alors, plus on va vers sa ville et plus elle vient vers vous, et plus elle vous donne. A vous Paris qui bouge, qui vibre, qui chante et enchante, qui élucubre, qui inquiète, intrigue ou surprend ! C'est Paris souvenir, Paris l'anecdote ou Paris l'épate qui vous guette au coin de la rue. C'est ce Paris-là que Pierre Merle, en toute subjectivité, évoque dans ce livre.
Durée : 6h. 3min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 13587
Résumé:Sans eux, sans leur talent hors du commun et leur exceptionnelle complémentarité (ils cosignèrent plus de deux cents chansons), il n'y aurait jamais eu les Beatles, ni même quelque chose qui eût pu y ressembler, de près ou de loin. Amis, ils l'ont été, bien sûr, même si leur première rencontre, le 6 juillet 1957, s'est plutôt déroulée en demi-teinte. Ils l'ont été au sens fort, plein et quasi passionnel du terme. C'est-à-dire avec toutes les connivences, mais aussi tous les heurts, les frictions et les brouilles que cela peut impliquer. Surtout quand la gloire, la grande, la vraie, celle qui surdimensionne les egos, s'en mêle. C'est ainsi qu'un jour se sont retrouvés face à face celui qui voulait encore croire aux Beatles et celui qui n'y croyait plus. Et pourtant... " John était un grand. C'était un être merveilleux et je l'aimais ", dit encore aujourd'hui Paul, lorsqu'il parle de son alter ego. Ce livre nous raconte leur histoire. Le roman de leur vie. Le roman des Beatles.
Lu par : Colette Audeoud
Durée : 11h. 21min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 13284
Résumé:Une date importante, historique, tristement célèbre, que celle du 8 décembre 1980 : ce jour d'hiver où, en plein coeur de New York, John Lennon mourait, assassiné par un fanatique, David Chapman. S'achevait ainsi une longue histoire, une épopée pour ainsi dire, qui vit John Lennon, leader incontesté des Beatles, tenir la dragée haute à toutes les autres stars du rock. Pierre Merle, qui a cosigné avec Jacques Volcouve un livre sur les Beatles paru aux éditions Fayard, remonte le fil du temps et tente de décrypter la personnalité qui se cachait derrière l'homme public. Qui était John Lennon ? Quels ont été ses rapports avec Yoko Ono, cette fille de banquier japonais, devenue sa muse à partir de 1966 ? À ces questions, qui en appellent bien d'autres encore, Pierre Merle confronte les points de vue de gens qui ont fréquenté Lennon, de Pet Best, le batteur des Beatles avant l'arrivée de Ringo Starr, à Bill Harry, l'ami d'enfance. En fil rouge du parcours du musicien exceptionnel : le couple Lennon/Ono, unique en son genre, uni et tragique à la fois, comme dans tous les bons romans. À la différence que cette histoire n'a rien de fictif. Bien au contraire. Un livre à découvrir avec passion.
Durée : 7h. 31min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 22550
Résumé:S'il n'y avait que la banquise... mais aujourd'hui même le français part à vau-l'eau. Notre syntaxe mollit, notre vocabulaire fond, l'orthographe de nos enfants se liquéfie, menaçant de submerger un niveau scolaire qui n'en finit pas de baisser. Les responsables de ce déclin ? La prolifération des SMS, du franglais, de la culture «pipole» et du parler «djeun's», entre autres résultantes du je-m'en-foutisme général érigé en doctrine. Jadis, loin d'abâtardir le français, la langue argotique lui réchauffait le sang. Les nouveaux «sabirs de proximité», à l'opposé, l'appauvrissent et l'enlaidissent au point de le rendre méconnaissable. Il en va désormais du français comme de ces maisons graffitées que l'on n'ose plus nettoyer : chacun observe les dégradations, mais nul n'intervient. Aux armes, francophones ! Parce que le français ne s'use que si l'on ne s'en sert pas, Pierre Merle repart en croisade, non sans humour. A l'aide d'exemples puisés dans la rue, dans la presse, à la radio ou sur Internet, il pourfend les liquidateurs de notre (presque) défunte langue. Un réquisitoire qui déchire mais qui calme grave.